Le promoteur: Groupe Coopérateur Multidisciplinaire en Oncologie (GERCOR)

Etude TEXCAN-C15-2 : étude de phase 2 évaluant la réponse au traitement selon les critères CHOI et RECIST et l’analyse texture provenant d’images de scanner chez des patients ayant un cancer colorectal métastatique et traités par régorafénib. [essai clos aux inclusions] Le cancer colorectal métastatique est traité notamment par chirurgie associée à une chimiothérapie pour ralentir la croissance de la tumeur. Il a été démontré des bénéfices en termes de survie globale chez des patients atteints de cancer colorectal métastatique traités par régorafénib, nouveau traitement oral anti tumoral. Pour pouvoir évaluer la réponse au traitement, il est nécessaire d’utiliser des critères objectifs et standardisés de la réponse tumorale (CRT), mais aucune uniformité d’utilisation de ces CRT n’existe. Identifier des critères appropriés de réponse optimiserait le traitement des patients. L’objectif de cette étude est d’évaluer la performance des critères CHOI et RECIST (Response Evaluation Criteria in Solid Tumours) régulièrement utilisés lors d’études cliniques, dans l’évaluation de l’activité du régorafénib chez des patients ayant un cancer colorectal métastatique qui ont été traité antérieurement par les traitements disponibles. Un électrocardiogramme et un scanner seront pratiqués 2 semaines avant l’initiation du traitement. Le scanner sera répété le 1er jour de chaque cure et en fin de traitement pour évaluer la réponse tumorale. Un bilan Les patients recevront du régorafénib quotidiennement pendant 3 semaines suivies d’une semaine de pause. Cette cure de 4 semaines sera répétée jusqu’à progression de la maladie selon les critères CHOI et RECIST ou toxicités inacceptables. Les patients seront traités pour une durée approximative de 3 mois et seront suivis à 4 semaines après la dernière prise de traitement et tous les 2 mois selon les pratiques cliniques courantes.

Essai clos aux inclusions

GERCOR DREAM C04-2 OPTIMOX 3 Tarceva : Essai de phase 3 randomisé comparant l'efficacité d'un traitement par chimiothérapie et bévacizumab, associé ou non à de l'erlotinib, en traitement de maintenance, chez des patients ayant un cancer colorectal métastatique non résécable. [essai clos aux inclusions] L’objectif de cet essai est comparer l’efficacité d’un traitement de maintenance associant erlotinib et bévacizumab au bévacizumab seul, après un traitement de 1ère ligne associant une chimiothérapie à de type XELOX2, FOLFOX7 ou FOLFIRI, à du bévacizumab, chez des patients ayant un cancer colorectal métastatique. Les patients recevront un des trois traitements de première ligne suivant, selon la décision de l’investigateur. 1er Groupe : Les patients recevront un traitement constitué, le premier jour, d’une perfusion de bévacizumab (1h30) suivie, d’une chimiothérapie de type FOLFOX7 comprenant une perfusion, d’oxaliplatine (2h), puis de leucovorin (2h) et d’une perfusion continue (46h) de 5-FU. Ce traitement sera répété toutes les deux semaines, jusqu’à six cures. 2ème groupe : Les patients recevront un traitement constitué, le premier jour, d’une perfusion de bévacizumab (1h30) suivie, d’une chimiothérapie de type XELOX2 comprenant une perfusion d’oxaliplatine (2h) et des comprimés de capécitabine deux fois par jour (matin et soir), pendant une semaine Ce traitement sera répété toutes les deux semaines, jusqu’à six cures. Les patients des deux premiers groupes recevront ensuite un traitement constitué soit ; - Le premier jour, d’une perfusion de bévacizumab, suivie d’une chimiothérapie comprenant une perfusion de leucovorin (2h) et d’une injection rapide, suivie d’une perfusion sur 46 h de 5-FU. Ce traitement sera répété toutes les deux semaines, jusqu’à six cures. - Le premier jour, d’une perfusion de bévacizumab, associée à des comprimés de capécitabine deux fois par jour (matin et soir) pendant deux semaines. Ce traitement sera répété toutes les trois semaines, jusqu’à quatre cures. 3ème groupe : les patients recevront un traitement constitué, le premier jour, d’une perfusion de bévacizumab (1h30) suivie, d’une chimiothérapie de type FOLFIRI comprenant une perfusion, d’irinotécan (1h30), puis de leucovorin (2h) et d’une injection rapide, suivie d’une perfusion sur 46 h de 5-FU. Ce traitement sera répété toutes les deux semaines, jusqu’à douze cures. Les patients des trois groupes qui répondent bien aux traitements, seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes pour recevoir un traitement de maintenance : Les patients du premier groupe recevront une perfusion de bévacizumab (1h30) toutes les trois semaines, en absence de progression de la maladie. Les patients du deuxième groupe recevront le même traitement que dans le premier groupe, associé à des comprimés d’erlotinib, tous les jours. Les patients pourront également participés à une étude de pharmacogénétique nécessitant le prélèvement d’un échantillon sanguin supplémentaire. Les patients rempliront un questionnaire de qualité de vie après la 4ème et la 6éme cure, puis tous les deux mois et seront suivis tous 2 mois.

Essai clos aux inclusions
Essai clos aux inclusions

Étude FOXAGAST : étude de phase 2, évaluant l’efficacité et a tolérance d’un traitement associant le nab-paclitaxel et une chimiothérapie de type FOLFOX en péri-opératoire, chez des patients ayant un cancer de l’oesophage inférieur ou de l’estomac HER2-négatif, opérable. Le cancer de l’oesophage ou de l’estomac reste une pathologie relativement rare mais en augmentation ces dernières années, en raison d’une multitude de facteurs prédisposants. Les séquelles à long terme (par exemple, dénutrition, sténose anastomotique tardive) ainsi que le suivi oncologique nécessitent une surveillance étroite, conjointement par le médecin généraliste ainsi que par l’équipe chirurgicale et oncologique, afin d’optimiser non seulement la survie globale mais aussi la qualité de vie des patients. L’objectif de cet essai est d’évaluer l’association du nab-paclitaxel au FOLFOX en chimiothérapie périopératoire chez des ayant un adénocarcinome oesogastrique opérable HER2 négatif. Avant l’intervention chirurgicale, les patients recevront une chimiothérapie dite FOLFOX comprenant des perfusions intraveineuses de nab-paclitaxel, de leucovorine, d’oxaliplatine et de 5-FU en continu sur 48h. Ces traitements seront répétés toutes les 2 semaines jusqu’à 6 cures. Selon les résultats de la chimiothérapie pré-opératoire, 6 cures d’une chimiothérapie post-opératoires pourront être administrées aux patients. Le patient réalisera les évaluations suivantes pendant cette étude. 1 - A la visite de pré-sélection, 3 semaines avant le début du traitement : rapport d’histologie, examen clinique, signes vitaux, biomarqueurs plasmatiques. 2 - A la visite d’éligibilité, 2 semaines avant le traitement : examen clinique, bilan biologiques, test de grossesse, biomarqueurs plasmatiques, questionnaire de qualité de vie. L’électrocardiogramme, l’évaluation tumorale (CT scan ou IRM), la biopsie (biomarqueurs tumoraux) et prélèvements sanguins pour recherche translationnelle peuvent être faites pendant la visite de sélection ou visite d’éligibilité. 3 - Au début du traitement à l’étude (jour 1 de la cure 1), puis à chaque visite de traitement (toutes les 2 semaines) : examen clinique, signes vitaux. L’évaluation tumorale (CT scan ou IRM) sera réalisée après la cure 4 et la cure 12 ou après la dernière cure reçue : bilan biologique, questionnaire de qualité de vie biopsie (biomarqueurs tumoraux) et biomarqueurs plasmatiques. 3 – A la visite de fin de traitement (4 semaines après la dernière cure) : examen clinique, signes vitaux, bilan biologique, questionnaire de qualité de vie. Après la visite de fin de traitement, le patient sera suivi de façon standard.

Essai ouvert aux inclusions

Étude NIPICOL : étude de phase 2 visant à évaluer l’intérêt de l’utilisation de l’évaluation radiologique iRECIST pour l’évaluation du taux de contrôle de la maladie chez des patients ayant un cancer colorectal métastatique dMMR et/ou MSI traités avec l’association nivolumab et ipilimumab. Le cancer colorectal est le deuxième cancer le plus fréquent chez la femme et le troisième chez l’homme. Il touche le côlon et le rectum et il se développe lentement pendant 5 à 10 ans avant de s’étendre à d’autres parties du corps. Le cancer colorectal peut former des métastases, notamment dans le foie ou dans les poumons, s’il n’est pas détecté à temps. Les patients ayant un cancer colorectal avec une tumeur déficiente en dMMR sont beaucoup plus sensibles au traitement par une immunothérapie que les patients avec une tumeur MMR. Cependant, pour connaître la réponse des patients il est nécessaire d’évaluer la réponse immune selon les critères iRECIST et d’identifier et valider des biomarqueurs fiables du pronostic, pour pouvoir choisir le schéma d’immunothérapie optimal pour chaque patient. L’ipilimumab et le nivolumab sont des anticorps ciblant respectivement CTLA-4 et PD-1 susceptibles de réactiver le système immunitaire, qui pourraient avoir un effet synergique quand ils sont administrés simultanément. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’intérêt de l’utilisation de l’évaluation radiologique iRECIST pour l’évaluation du taux de contrôle de la maladie chez des patients ayant un cancer colorectal métastatique dMMR et/ou MSI, traités avec l’association nivolumab et ipilimumab. Pendant la période d’induction, les patients recevront du nivolumab et de l’ipilimumab toutes les 3 semaines pendant 12 semaines en total. Les patients recevront ensuite un traitement de maintenance par du nivolumab seul toutes les 2 semaines jusqu’à la progression selon les critères iRECIST ou jusqu’à 12 mois, s’ils n’ont pas de progression. En cas de progression pendant la période de surveillance après les 12 mois de traitement, il sera possible de réintroduire le traitement avec du nivolumab. Les patients seront suivis toutes les 6 semaines pendant les 24 premières semaines, puis toutes les 12 semaines pendant 5 ans maximum.

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Etude TERAVECT D13-2 : étude de phase 3 randomisée comparant la radiothérapie adjuvante vectorisée avec l’In111-pentetréotide à la surveillance simple, chez des patients adultes ayant eu une intervention chirurgicale de résection complète des métastases du foie de tumeurs neuroendocrines digestives. Les métastases hépatiques désignent un cancer qui a pris naissance dans une autre partie du corps et qui s’est propagé au foie. Les métastases hépatiques sont différentes d’un cancer qui prend naissance dans le foie, et sont plus fréquentes. Certains types de cancer sont plus susceptibles de se propager au foie que d’autres, c’est le cas notamment des tumeurs neuroendocriniennes digestives. Le traitement usuel des métastases hépatiques (localisées au foie) des tumeurs neuroendocriniennes digestives est d’effectuer une chirurgie de type résection complète. Cependant il peut y avoir des cellules tumorales résiduelles et/ou des micrométastases ayant échappées à la chirurgie. La radiothérapie vectorisée en traitement adjuvant pourrait permettre d’éviter la survenue des récidives. L’objectif de cet essai est d’évaluer l’efficacité de la radiothérapie vectorisée en traitement adjuvant sur le taux de survie sans récidive à 3 ans par comparaison à un groupe contrôle sans traitement. Avant l’entrée dans l’étude, les patients auront reçu une intervention chirurgicale de résection complète des métastases hépatiques de tumeurs neuroendocrines digestives. Le scanner préopératoire afin de vérifier le grade de fixation à l’Octreoscan® pourra être utilisé pour vérifier l’éligibilité des patients. Les patients seront répartis de manière aléatoire en 2 groupes, au maximum 8 semaines après l’intervention chirurgicale : Les patients du premier groupe recevront une radiothérapie métabolique à l’In111-pentetréotide (groupe radiothérapie). Une imagerie tumorale sera réalisée 3 mois après la chirurgie avant l’administration de la première cure de radiothérapie. Les patients seront traités au plus tard 4 semaines par une première cure d’In111-pentetréotide. Ce traitement sera répété 3 fois, soit 3 cures espacées de 6 semaines, totalisant ainsi 12 semaines de traitement. Des examens radiologiques seront réalisés après chaque traitement à la 48ème ou 72ème heure après l’injection. 3 semaines après la première cure et jusqu’à 4 semaines après la dernière, un bilan hématologique et biochimique sera réalisé. Après la dernière cure, soit 6 à 7 mois post-chirurgie, une imagerie tumorale sera réalisée. Les patients du deuxième groupe recevront une simple surveillance (groupe contrôle).Une imagerie tumorale sera réalisée 6 à 7 mois après la chirurgie. Pour chaque patient, la participation dans l’étude durera 4 à 6 mois. Tous les patients seront suivis en routine jusqu’à 5 ans après l’inclusion dans l’essai clinique.

Essai ouvert aux inclusions

Étude NIPICOL : étude de phase 2 visant à évaluer l’intérêt de l’utilisation de l’évaluation radiologique iRECIST pour l’évaluation du taux de contrôle de la maladie chez des patients ayant un cancer colorectal métastatique dMMR et/ou MSI traités avec l’association nivolumab et ipilimumab. [essai clos aux inclusions] Le cancer colorectal est le deuxième cancer le plus fréquent chez la femme et le troisième chez l’homme. Il touche le côlon et le rectum et il se développe lentement pendant 5 à 10 ans avant de s’étendre à d’autres parties du corps. Le cancer colorectal peut former des métastases, notamment dans le foie ou dans les poumons, s’il n’est pas détecté à temps. Les patients ayant un cancer colorectal avec une tumeur déficiente en dMMR sont beaucoup plus sensibles au traitement par une immunothérapie que les patients avec une tumeur MMR. Cependant, pour connaître la réponse des patients il est nécessaire d’évaluer la réponse immune selon les critères iRECIST et d’identifier et valider des biomarqueurs fiables du pronostic, pour pouvoir choisir le schéma d’immunothérapie optimal pour chaque patient. L’ipilimumab et le nivolumab sont des anticorps ciblant respectivement CTLA-4 et PD-1 susceptibles de réactiver le système immunitaire, qui pourraient avoir un effet synergique quand ils sont administrés simultanément. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’intérêt de l’utilisation de l’évaluation radiologique iRECIST pour l’évaluation du taux de contrôle de la maladie chez des patients ayant un cancer colorectal métastatique dMMR et/ou MSI, traités avec l’association nivolumab et ipilimumab. Pendant la période d’induction, les patients recevront du nivolumab et de l’ipilimumab toutes les 3 semaines pendant 12 semaines en total. Les patients recevront ensuite un traitement de maintenance par du nivolumab seul toutes les 2 semaines jusqu’à la progression selon les critères iRECIST ou jusqu’à 12 mois, s’ils n’ont pas de progression. En cas de progression pendant la période de surveillance après les 12 mois de traitement, il sera possible de réintroduire le traitement avec du nivolumab. Les patients seront suivis toutes les 6 semaines pendant les 24 premières semaines, puis toutes les 12 semaines pendant 5 ans maximum.

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Etude DOUBLIRI : étude de phase 1b visant à définir la dose recommandée et à étudier la tolérance du MM-398 en association avec de l’irinotécan chez des patients ayant un cancer avancé et non résécable. [essai clos aux inclusions] Un cancer non résécable est un cancer pour lequel une intervention chirurgicale n’est pas possible. Dans ce cas, le traitement standard proposé est la chimiothérapie. Il a été démontré l’efficacité d’une molécule bloquant le processus de multiplication des cellules cancéreuses, l’irinotécan. Le MM-398 est de l’irinotécan encapsulé dans des liposomes, c'est-à-dire dans de petites bulles fabriquées à partir du même matériau que la membrane des cellules, lui conférant ainsi une stabilité plus grande. L’objectif de cette étude est de définir la dose recommandée et la tolérance des combinaisons de MM-938 avec de l’irinotécan chez des patients ayant un cancer avancé non résécable. Les patients seront répartis en 2 groupes suivant le type de cancer: Le premier groupe (autres cancers), constitué de patients ayant un cancer avancé non résécable autre que le cancer colorectal, recevront de l’irinotécan par perfusion intraveineuse (IV) de 1h puis du MM-398 par perfusion IV de 1h30, le premier jour d’une cure de 2 semaines. La cure sera répétée jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Le deuxième groupe (cancer colorectal), constitué de patients ayant un cancer colorectal métastasique non résécable, recevront du bévacizumab par voie IV de 1h30, de l’irinotécan par voie IV de 1h, du MM-398 par voie IV de 1h30, de l’acide folinique par voie IV de 2h et du 5-FU par voie IV continue sur 46h, le premier jour d’une cure de 2 semaines. La cure sera répété jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Au maximum 3 paliers de dose seront testés pour définir la dose recommandée. Une biopsie sera réalisée le 3ème jour de la 1ère cure et un prélèvement sanguin effectué à chaque cure pour analyser les marqueurs de la tumeur et de la réponse au traitement. Les patients seront suivis 1 mois après la dernière prise de MM-398 pour l’évaluation finale de la tolérance puis tous les 2 mois pour la survie globale avec des examens d’imagerie tels que la tomodensitométrie ou l’IRM. En cas de bonne réponse au traitement, un 2ème examen radiologique sera effectué 1 mois après pour confirmation.

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Etude TEXCAN-C15-2 : étude de phase 2 évaluant la réponse au traitement selon les critères CHOI et RECIST et l’analyse texture provenant d’images de scanner chez des patients ayant un cancer colorectal métastatique et traités par régorafénib. Le cancer colorectal métastatique est traité notamment par chirurgie associée à une chimiothérapie pour ralentir la croissance de la tumeur. Il a été démontré des bénéfices en termes de survie globale chez des patients atteints de cancer colorectal métastatique traités par régorafénib, nouveau traitement oral anti tumoral. Pour pouvoir évaluer la réponse au traitement, il est nécessaire d’utiliser des critères objectifs et standardisés de la réponse tumorale (CRT), mais aucune uniformité d’utilisation de ces CRT n’existe. Identifier des critères appropriés de réponse optimiserait le traitement des patients. L’objectif de cette étude est d’évaluer la performance des critères CHOI et RECIST (Response Evaluation Criteria in Solid Tumours) régulièrement utilisés lors d’études cliniques, dans l’évaluation de l’activité du régorafénib chez des patients ayant un cancer colorectal métastatique qui ont été traité antérieurement par les traitements disponibles. Un électrocardiogramme et un scanner seront pratiqués 2 semaines avant l’initiation du traitement. Le scanner sera répété le 1er jour de chaque cure et en fin de traitement pour évaluer la réponse tumorale. Un bilan Les patients recevront du régorafénib quotidiennement pendant 3 semaines suivies d’une semaine de pause. Cette cure de 4 semaines sera répétée jusqu’à progression de la maladie selon les critères CHOI et RECIST ou toxicités inacceptables. Les patients seront traités pour une durée approximative de 3 mois et seront suivis à 4 semaines après la dernière prise de traitement et tous les 2 mois selon les pratiques cliniques courantes.

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